dimanche 30 novembre 2008

Quoi que l'on en dise...

Les dés ne sont jamais jetés…
Les choix sont difficiles,
Justement parce qu’ils semblent irrémédiables…
Sans être versatile,
Les dés peuvent être relancés…
Ils imposent un minimum de conscience…
De ne pas les maltraiter…
De savoir ce que l’on fait…
Il y a un temps pour tout,
Préservons nous le temps de vivre…
Choisir n’est pas mourir,
Bien au contraire…

2 commentaires:

En passant a dit…

Une chose curieuse : confronté à un choix, on est souvent porté à croire qu'il est immédiatement lisible. Il me semble que dans tout choix formulé, l'interprétation garde toujours sa place, et qu'il faut prendre le risque de jouer de toute l'épaisseur des mots pour y trouver ce qui permet de dire "oui !", de chercher le beau, ce qui donne au désir la place d'honneur. Il y en a toujours une. Lancer les dés : regarder toutes les faces, pas seulement une, celle qui se donne à voir en cachant les cinq autres.

Kat Imini a dit…

En passant, le choix est-il préalable au oui ! Et l'épaisseur des mots ne se fait-elle parfois pas jour après... Le choix c'est peut être de lancer les dés justement, une des faces cachées seulement sera vue ensuite... même si nous pouvons réciter par coeur les autres faces qui s'appellent ensuite les regrets, il vaut donc mieux les oublier...