mardi 8 novembre 2011

Surtout ne pas s'oublier...

Surtout ne pas s'oublier...
L'oiseau s'en est allé...
N'ayant jamais eu la clé,
Il a mis toutes ses forces
A briser les barreaux de sa cage...
Il a mis encore plus de temps
A nouer les mouchoirs
Dans lesquels il pleurait sa liberté...
Il avait juste oublié...
Qu'il savait voler...

7 commentaires:

JC a dit…

J'adore car ça va très loin tout cela et c'est simplement mais génialement écrit !
Amical mian

Françoise a dit…

Nous sommes nombreux à oublier que nous savons "voler", nous nous laissons enfermer dans un monde qui n'est pas forcément le nôtre... et nous avons donc tendance à nous oublier, oui, et oublier nos propres désirs, nos propres envies... Faisons comme le petit oiseau, armons nous de courage et de volonté, brisons les barreaux de la cage, et envolons-nous !... (sourire)

Joliment tourné ton billet, Kat.
Belle journée à toi, ma douce.
Je t'embrasse fort.

Hubert a dit…

Comme il est beau ton texte sur cette image...
Je t'embrasse
Hubert.

une libellule a dit…

Je l'ai trouvé triste ton message, beau mais triste...
J'espère que c'est juste sous l'influence de la grisaille de l'automne
Bises

anne des ocreries a dit…

ça revient, ça, ce genre d'oubli, ça revient ! et alors là, quel essor, wow ! :)

Ray... a dit…

Voler...quoi de plus beau...mes rêves sont fait de vents tout en haut la haut...comme quand je volais avec mon aile delta...

Kat Imini a dit…

Merci JC, ton message m'a fait très plaisir, touchée. Amicalement aussi.

Oui Françoise, ouvrons nos "elles", sourire, je t'embrasse fort.

Hubert, heureuse qu'il te plaise, j'avoue que je l'aime bien aussi. Je t'embrasse, à bientôt.

Une Libellule, tu as raison, il est un peu triste ce texte, sur le temps perdu, mais il est aussi plein d'espoir, la cage est brisée. Bises.

Sourire Anne, je vois dans tes mots l'envol, bises ma belle, à bientôt.

Ray, je n'ai jamais "volé" que dans un avion, mais j'ai toujours la tête collé au hublot pour voir cette mer de nuage et cet horizon qui ne semble pas avoir de fin.